La Marelle

Ce roman raconte l’histoire des premiers mois d’une fratrie de petites Italiennes, dont celle de la mère de l’auteur, transplantées dans un coin de France depuis leur Vénétie natale. Ces moments de vie intense dans un nouveau monde vont être restitués à partir des regards, des sentiments, des mots que ces enfants ont pu avoir à cet âge.

Les personnages principaux qui vont les entourer ont existé ; les dates ainsi que les grands évènements correspondent à la réalité historique (1931-1932). Et ceux qui pensent encore que ce fut pour cette génération d’immigrés italiens une intégration facile, trouveront là matière à reconsidérer leur regard sur ce passage de l’histoire.

L’Engoulevent

Comment un esprit profondément cartésien peut-il réagir face à l’irrationnel ?

L’expérience que fera Marianne de ce monde invisible, au sein de la Provence, terre de légendes et de mystères, la conduira-t-elle à une autre conception de la vie, prouvant peut-être que notre quotidien n’est pas si tangible ou si logique qu’il y paraît ?

Doubi, doubi  ou Le regard des autres

Au pied du Canigou, montagne sacrée des Catalans, un petit village vit paisiblement au rythme des caprices de la météo, de l’arboriculture, de l’élevage et d’un peu de tourisme estival. Mais le Canigou est aussi l’objet d’une légende noire et le calme repose sur un fragile équilibre : le village héberge dans un Centre d’Accueil une trentaine de migrants originaires d’Afrique, du Proche Orient ou d’Asie, condamnés à l’oisiveté. À leur égard, certains villageois restent méfiants, alors que d’autres sont bienveillants, voire plus si affinités. Mais un jour, un projet concernant le Centre va exacerber les sentiments des uns et des autres et réveiller les anciens antagonismes.

Le projet va-t-il aboutir ? La vie pourra-t-elle reprendre son cours paisible ? À quels bouleversements doit-on s’attendre pour les villageois comme pour les migrants ? Des nuages s’amoncellent sur le village, l’orage éclatera-t-il au pied du Canigou ?