Un Kosak sur le toit

Mais qui est le Kosak ? Que pouvait-il bien faire sur les toits ?

Comme le héros de Jean Giono, c’est un homme bon, généreux et courageux, au destin extraordinaire.

Une erreur administrative des Allemands, ainsi que les aléas de la guerre, le conduiront à travers l’Europe, de Hayange (en Lorraine) jusqu'à Moscou, en passant par Berlin. Grâce à son ange gardien, toujours présent à ses côtés, il sortira vivant des camps de concentration et s’engagera  dans l’armée russe pour combattre les nazis.

 De retour à Berlin, dans la capitale du Reich en ruine, occupée par les  Soviétiques, il sauvera des dizaines de femmes allemandes exposées aux violences vengeresses des Russes, en les cachant sous les toits des immeubles bombardés. Après  avoir  affronté bien des dangers et subi  de terribles  épreuves  dans les camps de la mort, il retrouvera, heureusement, en France, toute sa famille saine et sauve.

 En 1948, il renoue hélas avec la tragédie. Le devoir le conduit en Indochine où l’attend  à nouveau la guerre…

Eva est Hongroise. Elle veut tenir la promesse faite à sa grand-mère de retrouver sa sœur disparue depuis 1938 entre la France et l’Italie.

Son périple va l’emmener de Budapest à Paris, puis de Trieste en passant par Trente pour arriver à Venise. Elle découvrira au cours de ce voyage les horreurs de la seconde guerre mondiale, mais également le courage et l’abnégation de quelques-uns, et puis aussi l’amour...

Cette aventure va faire ressurgir du passé des secrets enfouis profondément, des trahisons, des spoliations. Cela provoquera des drames qu’Eva aurait voulu éviter, car ils touchent les plus méritants. Tout cela va la changer à tout jamais.

Des personnages aux caractères bien trempés, des villes magnifiques, le milieu de la haute couture et des marchands d’art, le chaos en temps de guerre ainsi que la traque des Juifs... tout est réuni dans cette histoire bouleversante.

Opus 33

En 1943, une poignée de résistants girondins avait installé son QG près de Préchac pour préparer des sabotages et des attaques contre l’ennemi, et notamment contre la Gestapo.

Ponctués de quelques moments heureux et amoureux avec Marie, seule femme du réseau, c’est un récit poignant du quotidien et des actions de ces maquisards, relatant leurs faits d’armes.

Ce livre est grandement inspiré des notes écrites à l’époque par le grand-père de l’auteur : le capitaine Roger, chef de réseau OPUS 33. Vous y découvrirez leurs ressentis, basés sur les infos de l’époque, et surtout leurs nombreux moyens subtils de dissimulation d’armes et de moyen de communication.