Banyuls sur mer, été 1936. La guerre civile vient d’éclater en Espagne, à quelques kilomètres à peine, de l’autre côté des Pyrénées.

Luis a huit ans. Le conflit lui semble lointain et irréel. Jusqu’au jour où son père Francisco lui annonce son départ : il va partir combattre contre les troupes de Franco.
Luis promet d’être courageux et de veiller sur sa mère, loin de se douter que la guerre change les hommes. L’absence va faire naître de nouvelles passions et révéler des conflits de famille depuis longtemps enfouis…
Premier tome d’une trilogie, ce roman nous fait vivre la sombre période de la Retirada.



Isabelle CALLIS-SABOT
D’origine catalane par son père et chtimi par sa mère, Isabelle CALLIS-SABOT est née en 1958 à Montpellier. Dès son plus jeune âge, elle se consacre à l’écriture. Elle commence par publier des recueils de poésies avant de se tourner vers le roman. Le Bugey, où elle est venue s’installer, devient la source de son inspiration, par la richesse de son histoire et la beauté de ses paysages.
Reconnue pour son livre « Marguerite et Philibert » puis pour d’autres romans historiques au cœur de l’Ain, Isabelle quitte, en 2009, son pays d’adoption et choisit de vivre sur la Côte vermeille. Un retour aux sources, un choix déterminé, un endroit où elle puisera le thème de ses futurs ouvrages.


EXTRAIT
« Il parcourut des yeux le panorama, à la recherche d’une consolation. Imperceptiblement s’effacèrent les images funestes. Aux confins des pinèdes et de la mer bleue régnait un enchantement délicieux. Le village de Banyuls, assoupi dans une tranquillité infinie, paraissait préservé à jamais de la violence des hommes. »



Des hommes et des femmes aux caractères bien trempés, courageux, sont confrontés aux horreurs de la guerre d’Espagne. Avec son écriture ciselée, juste et charnelle, Isabelle nous fait participer à la vie des frontaliers subissant l’histoire de nations qui broient l’existence des citoyens.
Isabelle CALLIS-SABOT, spécialiste des romans historiques, nous happe dans cette saga familiale que l’on ne peut plus quitter. Vivement les tomes suivants.

Alexandra de Saint-Prix

 

En février 1939, le conflit espagnol s’achève par l’exil des républicains. En septembre de la même année, la France déclare la guerre à l’Allemagne. C’est la mobilisation générale.

Les hommes sont rappelés sous les drapeaux. L’avenir devient sombre et incertain. Puis vient le temps de l’Armistice, du Régime de Vichy, des chantiers de jeunesse et des passages clandestins.
Angèle reste seule avec, en guise de consolation, des rêves et des souvenirs. Une fois de plus, elle devra faire face aux cruautés du sort. Car la guerre va changer le cours de sa vie, en engendrant de nouveaux drames et en déliant les promesses d’amour.





Isabelle CALLIS-SABOT
D’origine catalane par son père et chtimi par sa mère, Isabelle CALLIS-SABOT est née en 1958 à Montpellier. Dès son plus jeune âge, elle se consacre à l’écriture. Elle commence par publier des recueils de poésies avant de se tourner vers le roman. Le Bugey, où elle est venue s’installer, devient la source de son inspiration, par la richesse de son histoire et la beauté de ses paysages.
Reconnue pour son livre « Marguerite et Philibert » puis pour d’autres romans historiques au cœur de l’Ain, Isabelle quitte, en 2009, son pays d’adoption et choisit de vivre sur la Côte vermeille. Un retour aux sources, un choix déterminé, un endroit où elle puisera le thème de ses futurs ouvrages.
 

EXTRAITS
« L’été s’en allait, éparpillant à l’horizon des bouffées de nostalgie : maintenant, les sentiers courant dans les vignes étaient chargés non plus de promesses mais de souvenirs. De merveilleux souvenirs… »
« Il m’arrive alors d’avoir peur. Très peur. Saurai-je me servir de mon arme en cas d’attaque, tuer pour ne pas être tué ? Que deviendront mon épouse et mes fils si je ne rentre pas ? »



Que pèse la vie des familles en temps de guerre ? L’homme est confronté à son vrai visage pour le pire et le meilleur !
Dans ce deuxième récit, Isabelle continue à nous faire prendre le train du temps pour nous emporter dans l’histoire dramatique de ce Roussillon en zone libre.

Alexandra de Saint-Prix

 

En 1501, Marguerite d’Autriche-Bourgogne épouse Philibert de Savoie. Cette troisième union devient une histoire d’amour, alors la princesse flamande oublie qu’elle a été répudiée par Charles VIII et supplantée par Anne de Bretagne. Elle se console aussi du trépas de don Juan, son second époux, fils des rois Catholiques d’Espagne.
Mais en 1504, l’infortune frappe à nouveau : Philibert meurt, le bonheur n’aura duré que trois ans. Veuve inconsolable, elle va réaliser le vœu de Philibert : reconstruire le petit prieuré de Bourg en Bresse. Puis elle entreprendra l’édification du monastère royal de Brou.
Le sort s’acharne encore sur elle en l’arrachant à son douaire savoyard. La mort de son frère Philippe le Beau laisse vacante la régence des Pays-Bas. À la demande de son père, Marguerite regagne sa Flandre natale. Elle va alors gouverner, tout en assurant la tutelle de ses neveux, dont le futur Charles Quint.
À travers le destin tragique de Marguerite, nous parcourons l’Europe de la Renaissance, nous croisons le destin de Christophe Colomb, nous voyons surgir, en pleine terre de Bresse, une église de type gothique flamboyant.
Avec, en filigrane, les rêves courtois et la si belle poésie de Charles d’Orléans.




Isabelle CALLIS-SABOT
Originaire de Montpellier, l’auteure a vécu une trentaine d’années dans l’Ain. C’est ainsi qu’elle a découvert le monastère de Brou et s’est passionnée pour son histoire qu’elle a décidé de nous sublimer au-travers d’un roman.





Amateurs d’histoire, revivez les impitoyables destinées d’enfants de Rois, conçus pour servir les négociations politiques et géographiques des Etats. Marguerite, irréductible face au coup du sort, va réaliser un chef-d’œuvre qui lui permettra de devenir éternelle auprès de son amour.

Alexandra de Saint-Prix

 

Le piège s’est refermé. Les aventuriers de la rivière blanche, deux femmes, un homme et un jeune chien se trouvent pris dans une nasse dans laquelle ils se sont engagés volontairement et dont ils ne peuvent s’extraire. Dans un milieu tropical réputé pour son humidité, sa pluviosité régulière, ses nombreuses sources, ses vasques naturelles, sa végétation luxuriante, ils ont atterri dans une bulle géologique rare, dans une anomalie climatologique, un site désertique hors du temps qui ne devrait pas exister normalement là où ils se trouvent.

Ils sont entrés dans un espace réservé au règne minéral d’où est exclue toute forme de vie végétale et dans lequel aucun animal ne peut survivre. Ils sont seuls, sans pouvoir appeler qui que ce soit à l’aide, et ils ne savent pas si quelqu’un peut les retrouver là où ils se sont fourvoyés… C’est un monde en négatif qui les entoure, un monde albinos, fait de limon blanc, de résidus de ponce, de poussière de talc, de ces cendres qui marquent l’après-vie. Ils sont entrés dans un monde d’anti-vie qui les retient prisonniers. Sans secours envisageable, ils sont devenus des naufragés à la montagne Pelée.




Robert LOPEZ
Robert Lopez a accompli, au gré de ses affectations, un parcours dans l’Education Nationale qui l’a conduit en Afrique du Nord et en Afrique Noire, aux Antilles puis en Métropole.
Inspecteur d’Académie à la retraite, il s’est adonné à l’écriture de livres-témoignages en y apportant son analyse personnelle.
Avec ce nouvel ouvrage, il aborde le roman, mélange de fiction et d’une expérience vécue en Martinique, une occasion de revisiter la problématique des choix qui peuvent se présenter au cours d’une vie.


EXTRAITS
« Tout se passe comme s’il était victime de la viscosité des forces de la pesanteur qui le tirent vers le bas, l’hôte du volcan tenant à rappeler qu’il demeure celui qui décide, qui choisit, qui punit les aventuriers impudents voulant jouer aux explorateurs sur ses pentes. »
« On pourrait retrouver trois cadavres desséchés et poudrés dans les attitudes des personnages sortis de la gangue qui les avaient protégés pendant des siècles à Pompéi. »



La mer des Caraïbes avec ses paysages grandioses va se transformer en enfer pour ses randonneurs abandonnés par leur guide.
Superbes descriptions et sueurs chaudes assurées au menu de ce roman îlien.
 

Maryse BORNET est née et a vécu un temps à Constantine. Après une carrière de professeur de mathématiques au lycée Thiers, à Marseille, elle entreprend d’écrire. Ce livre est son second roman. Sinon elle, du moins nombre de membres de sa famille ont été de ces Français d’un autre continent, pris au piège des événements dont sortirait l’indépendance de l’Algérie, et qu’on désigne sous l’appellation de « pieds-noirs ». À lui seul ce terme les enferme dans une caricature et pérennise à leur égard incompréhension et mépris. Maryse, avec ce livre, a la prétention d’en renvoyer une image plus raisonnable. S’il ne faut pas voir dans ce texte une autobiographie, mais bien une œuvre de fiction, certaines situations servant d’arrière-plan ont réellement été vécues. .

Extrait.
Longtemps elle s’était refusé de savoir quels souvenirs précis sa mémoire avait engrangés des heures terribles qui avaient suivi. Très vite elle avait comprimé tout au fond d’elle les protestations qui la secouaient et s’efforçait depuis de tenir au secret une colère brouillonne qui à être comprise aurait accru sa souffrance. Après en avoir tant repoussé le moment il lui fallait maintenant l’analyser. Et comment, d’abord, accepter l’horreur de cette mort ? Gratuite et abjecte. Yolande avait payé de sa vie d’être restée pareille à elle-même, avide de s’emparer de la moindre occasion d’être heureuse, obstinée à ne se connaître aucune contrainte. .

Richard, joueur de Hockey sur glace sort du coma après 9 jours. Sa vision du monde, sa paternité, tout est bouleversé !
Naissance, amitié, amour, enquête, agression voici quelques-unes des péripéties de sa nouvelle vie mouvementée, au Canada et à Sainte Lucie aux Caraïbes.







Maryse REYNAUD
Maryse REYNAUD est née à Marseille, a séjourné dans le Jura, le Massif central et vit aujourd’hui dans les Alpes de Haute Provence.
Très Grande sportive (ski, athlétisme, sports co, gym sportive, culture physique, patinage, cyclisme, natation, arts martiaux, golf, …), elle est Diplômée d’Etat et professe dans les métiers du Sport et de la Santé, naturothérapeute, elle enseigne également les Arts chinois (Taï chi chuan, Chi Kong, Gym tao). L’un et l’autre étant étroitement solidaire, elle ne peut dissocier le travail du corps et celui de l’esprit !
L’écriture, son ‘péché mignon’ et la musique, sa tendre passion, lui ont valu de nombreuses récompenses littéraires et poétiques. Beaucoup de ses poésies, chansons, contes, légendes ont été primés par l’Académie Internationale de Paris/Lutèce, ainsi que ce Roman SYMBIOSE.
La chanson « Laisse la rêver », écrite et adaptée en français avec Roch VOISINE et Yves DECARY, a fait qu’elle est également


EXTRAIT
« L'atmosphère qui y règne dégage comme un quelque chose d'à la fois macabre mais serein, baignant dans une douce essence presque incompréhensible mêlée d'une fraîcheur et d'un silence sacrés et bienfaisants. Le temps et l'espace semblent suspendus dans une goutte d'irréel. »


Au travers de ses dialogues enlevés et de son écriture poétique, Maryse, chantre de l’harmonie, nous emmène vers la perception des autres et la symbiose des êtres.

Alexandra de Saint-Prix
 

Un nouvel auteur dans l’univers des romans politiques.
De formation scientifique, il a grandi entre le Sénat, le Quartier Latin et les ministères du 7ème arrondissement de Paris, et a vécu dans de nombreuses régions françaises.
Sans langue de bois et tout en humanité, il souhaite faire avancer la réflexion politique, au moment où nous attendons tous de vrais solutions pour améliorer notre vie de tous les jours, et surtout pour nous donner confiance en l’avenir. Son récit nous emmène, au gré des intriques, sur de nombreux théâtres d’action, son expérience vous propose des solutions innovantes pour notre pays.

EXTRAIT :
« J’étais en face de détraqués mais apparemment très organisés. Une fois le sac et le bâillon enlevés de ma tête. Je découvris une petite pièce sobre, triste, sans fenêtre avec un coin lavabo et toilettes où je me précipitai avec peine à cause de mes courbatures. J’étais resté attaché solidement pendant plusieurs heures de manière spartiate, et j’étais maintenant enchaîné comme un bagnard. Il y avait un verre en plastique et une pomme sur la chaise en plastique, à coté du matelas posé par terre. Je remplis le verre au robinet, bus goulûment, m’assis sur la chaise et attaqua la pomme. Ma situation n’était pas brillante. Cependant, pour ne pas sombrer immédiatement dans une déprime justifiée. Je me décidais d’appliquer quelques uns des préceptes des Arts martiaux que j’avais appréciés dans ma jeunesse, et qui se résumaient en ces quelques mots : « Si tu n’es pas mort, c’est que tu peux encore te battre. Si tu sens la douleur c’est que ton corps et ton esprit réagissent encore. Utilise-les ». .
 

EXTRAIT :
« En parallèle du lancement du désengorgement de PARIS, il fallait un projet national ambitieux pour marquer l’opinion, et visiblement cette idée avait obtenu le consensus au niveau du Président et de la Première Ministre. Ce « Projet BOIS » les avait touchés et séduits. Il faisait partie de leurs espérances pour sauver leurs têtes et leurs futures carrières. Il s’agissait d’un triple objectif : Relancer la filière bois en déclin dans notre pays en lui insufflant les techniques liées aux industries de pointe comme l’Aéronautique, la Chimie et les Biotechnologies. Donner à plusieurs centaines de milliers de familles la possibilité immédiate de changer de vie, de statut et peut-être d’être plus heureux en étant au travail plutôt qu’être assistés. Enfin réconcilier les milieux bancaires avec les petits épargnants en proposant un Emprunt simple, évolutif et garantit par l’Etat. Nous étions toujours en automne et le concept devait s’étaler sur les six prochains mois. » .
 

EXTRAIT :
« Il y a de la sagesse à regarder le monde et de la folie à espérer le faire changer. »
 

Belle écriture tout en finesse et bien rythmée qui reflète bien la personnalité sensible, généreuse et passionnée de l’auteur. Peut-être de nouveaux espoirs dans la conception d’une vie plus saine et plus solidaire.

D’abord l’histoire héroïque de Jeanne, résistante dans le cœur et dans ses actes, déchirée car son père est sous-officier de la Wehrmacht.
Puis des mots, des lettres, des cris d’amour pour les enfants du monde ; et enfin un dialogue surprenant avec un ange.
Lire ces nouvelles c’est faire preuve d'introspection et c’est regarder par-delà l'horizon, afin de découvrir ce que l'on ne voit pas.




Marielle MONTAGNE
Née à Lyon, son père lui a insufflé l'intelligence de la terre et sa mère le goût de la lecture. A 18 ans elle quitte le cocon familial pour faire ses études de Lettres modernes à l’Université. Enseignante, elle pilote différents projets d'écriture (recueil de poésie et de contes...) et de soutien à la dyslexie.
Actuellement en Isère, elle crée une comédie musicale sur le thème de l'intégration, en collaboration avec d'autres collègues et l'artiste Syrano.
Elle vit, avec son fils dans la complicité et la joie de vivre et reste persuadée que les plus belles découvertes sont les aventures humaines.


EXTRAITS
« Tu m’as trahie par lâcheté, je t’ai menti par patriotisme. Tu t’es tourné vers tes racines, j’ai préféré celles de ma mère. Tu as choisi de marcher au pas, j’ai choisi de marcher dans l’ombre. »
« Il est faux de dire que la noirceur de l’encre n’imprègne que le papier. Non, elle imprègne le cœur, l’esprit aussi, indélébile. »
« J’aime la musique qui parle. Celle qui raconte un instant de vie et qu’on reçoit au fond de soi comme un éclair d’éternité, parce qu’elle invite au souvenir.»



Une écriture passionnée et sensible. Des nouvelles variées, graves ou légères, mais toujours avec le mot juste qui touche le cœur et l’âme. Un chemin de vie personnel ou emprunté, au gré des événements et des rencontres, qui ne laisse pas indifférent.

Alexandra de Saint-Prix

 

Surgit de ses rêves les plus angoissants, Arnaud NIKLAUS nous emmène de l’autre côté de l’Atlantique pour nous les raconter. Ces huit nouvelles, où ses héros et héroïnes doivent tenter d’échapper aux tristes sorts qui leur sont réservés, sont aussi différentes que sombres.
Personnages tourmentés, monstres et morts sont omniprésents dans ces pages.
 

Né à Strasbourg Arnaud NIKLAUS est profondément attaché à sa Région.
De formation Electrotechnique, Il a travaillé à la SNCF, à la Gendarmerie Nationale. Aujourd’hui agent de sécurité, il cultive sa passion pour le fantastique et la science-fiction, en lisant et en écrivant romans et nouvelles. Il s’agit ici de son troisième livre.

 

EXTRAITS

« Alors que Jenny se demandait que faire maintenant, la créature se mit à bouger. J'aurais dû lancer plus fort, se dit-elle. N'écoutant que son instinct de survie, elle se précipita sur la porte, la déverrouilla, et s'enfuit dans le couloir. »

« Pour toute réponse, elle lui tendit son dessin. Ce dernier représentait une petite fille au visage triste, à côté d'un arbre. Toute la scène avait été dessinée au feutre noir. Une corde reliait le cou de la fillette à une branche. Un cœur noir trônait sur son buste. Mon Dieu ! Comment une enfant aussi jeune a pu dessiner une scène aussi atroce ? pensa Sarah. »

« Quand il pénétra dans son jardin, il repéra immédiatement des traces de pas qui sortaient de la forêt. Il les suivi et constata qu'elles menaient à l'accès extérieur de sa cave. Samuel avait peur, car il se demandait quel genre d'animal pouvait avoir l'intelligence suffisante pour ouvrir et fermer une porte verticale. »


Très originales et variées sont ces histoires noires, très noires, effrayantes et hypnotisantes que l’on dévore jusqu’à la fin.
Voulez-vous frissonner ? Alors ouvrez vite ce livre d’un Auteur à l’imagination féconde et prometteuse. Nouvelle après nouvelle, votre sang se glace !
Âmes sensibles, s’abstenir !
Alexandra de Saint-Prix

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